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Archives — Expositions
Expositions de l’année 2024
Argile du frêne
Charlotte Ghomeshi, Clara Lacasse, Claude Labrèche-Lemay et Loïc Chauvin
5 septembre au 27 octobre 2024
Argile du frêne réunit de nouvelles œuvres photographiques de Loïc Chauvin, Charlotte Ghomeshi, Claude Labrèche-Lemay et Clara Lacasse. Comme les syrphes, ces mouches jaunes et noires qui ressemblent aux abeilles et aux guêpes et ainsi évitent leurs prédateurs, les œuvres présentées séduisent, dissimulent, leurrent.
Porter
Anne Billy
11 janvier au 19 février 2024
Histoire de collaboration, de tendresse et de communion, les œuvres de la série Porter mettent de l’avant diverses situations dans lesquelles jeunesse et vieillesse se côtoient, se supportent et s’appuient. La subtilité du travail rend symboliquement compte de l’invisibilité des liens filiaux, mais aussi de leur constance, de leur persistance au-delà du temps.
Tisser l’intime
童宙 Tong Zhou Lafrance, Tania Lara, My-Van Dam et Vanessa Riera
29 février au 7 avril 2024
Tisser l’intime aborde la manière dont l’identité se rattache à la mémoire familiale, géographique et sociétale. Les regards des quatre artistes 童宙 Tong Zhou Lafrance, Tania Lara, My-Van Dam et Vanessa Riera s’y côtoient autour d’une préoccupation partagée : la reconstitution et l’archivage de dictats, souvenirs et d’expériences qui s’imprègnent et nous forgent.
Reconstruire le paysage – Aménagement photographique
Romane Dumas-Kemp
13 avril au 19 mai 2024
Dans cette exposition, Romane Dumas-Kemp explore le paysage en tant que genre artistique et objet culturel tout en mettant l’emphase sur les rapports de dualité entre l’espace naturel et l’espace construit. Tout en faisant écho au phénomène d’objectification du monde naturel, sa pratique en fait également un éloge puis propose de nouvelles manières d’aborder le paysage en tant que genre artistique.
Jaune corespiration
Julie Roch-Cuerrier
6 juin au 18 août 2024
Et si la corespiration avait une couleur? Expérimentant avec de nouvelles matières comme le pollen, le miel et la cire d’abeille, Roch-Cuerrier s’intéresse à la manière dont les matériaux peuvent être porteurs d’interactions sociales. En intégrant ces dernières à ses œuvres en verre soufflé et en bronze, elle réfléchit au potentiel de ces substances à transmettre les histoires environnementales et transgénérationnelles dont elles sont empreintes.